Pas facile, quand il faut stationner à Rome ! La ville est connue pour ses embouteillages et ses Zones à Trafic Limité, interdites aux non-résidents à des créneaux horaires stricts. Je vous recommande donc d’utiliser votre voiture le moins possible.
Reste à vous en délester. À Rome, les miracles sont possibles, comme parvenir à stationner dans la rue. Si elle dispose d’un marquage blanc, elle est gratuite. Mon conseil : tentez votre chance vers le Cirque Maximus où des places « blanches » sont disponibles.
Si le marquage est bleu, il vous faudra mettre la main au porte-monnaie. À ne jamais faire : vous garer sur une place dotée d’une ligne jaune, réservée et totalement interdite au commun des mortels. Le plus souvent, c’est payant de 8h à 19h, et jusqu’à 23h, à Trastevere, Campo Marzio, Celio, Lungotevere I et II, Testaccio, Ludovisi et Portico d’Ottavia.
À conseiller, stationner aux abords de Rome
Côté tarifs, c’est variable de 0,20 € le stationnement rapide à 1,20 € de l’heure dans les zones à trafic limité. Les bureaux de tabac vendent des tickets à 1 € ou des cartes prépayées de 25 €, 50 € ou 60 €. Sinon, insérez des pièces de monnaie dans les parcmètres.
À Rome, mieux vaut quand même laisser votre voiture dans un parking fermé et/ou gardé. Celui de votre hôtel s’il en est équipé, sinon dans un parking public. Les principaux, bien situés dans le centre, sont ceux de Villa Borghèse, Piazza Cavour, Janicule et gare Termini. À vous de choisir en fonction du quartier où vous résidez. Tarif : 2,20 € de l’heure ou entre 18 € et 20 € l’abonnement journalier. Garez-vous aux abords de Rome où les grands parkings, près des terminus de métro, sont moins chers. Il vous en coûtera environ 2 € la demi-journée.
L’info « stationner à Rome » en +
Nombreux sont les automobilistes romains à bichonner leur voiture. Mieux : le jour de la Sainte Françoise, le 9 mars, certains la font même bénir en la basilique Santa Francesca Romana, sur le Forum romain, connue aussi sous le nom de Santa Maria Nova.